L'objectif est rempli : la France termine à la 5e place de la Coupe du monde de rugby des -20 ans. Éliminés dès le 1er tour après deux défaites face à l'Angleterre et l'Afrique du Sud, les Bleuets se devaient de réagir lors des matchs de classement de « son » Mondial. Le but était simple pour la bande à Jedrasiak : remporter le reste de ses matchs et ainsi accrocher la 5e place de la compétition. C'est chose faite après la victoire face à l'Argentine ce dimanche, qui fait suite au match remporté sur le fil face à l'Irlande (9-8). Et que ce fut dur ! A la mi-temps, le score est sans appel en faveur des Pumitas (27 à 5) et rien ne laisse supposer que l'équipe trouvera la force nécessaire pour revenir dans la partie.
Oui mais. Un match de rugby se joue sur des détails et il suffit d'un rien pour en faire basculer. En début de seconde période, le trio Pelous-Bastide-Retière décide de changer d'ouvreur, Vincent Mallet prenant la place d'Enzo Selponi. Par sa réussite au pied, le jeune ouvreur du Stade Français permet aux Bleuets de reprendre espoir et de grignoter leur retard, malgré un nouvel essai encaissé. A douze minutes de la fin, Mallet claque son deuxième drop de la soirée et la France revient (23-34) dans les clous. Il faut pourtant attendre la 76e pour voir les Tricolores retourner dans l'en-but. Les Argentins cafouillent en touche et la France hérite d'une pénalité, vite jouée par Baptiste Serin. Le demi de mêlée bordelais, d'une subtile chistera, envoie Jedrasiak à l'essai. Mallet transforme. La France n'est menée que de quatre points...
De nouveau à l'attaque, les Bleuets tentent le tout pour le tout. Serin se fait la malle et passe tant bien que mal le cuir à Mallet, encore lui, qui réussit à transmettre acrobatiquement à François Bouvier. Le Toulousain accélère, cherche du soutien et voit Teddy Thomas à son intérieur. Sa passe est contrée mais le rebond est favorable à Thomas qui s'offre un doublé après sa réalisation en 1ère période. C'est au tour des Pumitas de baisser la tête... Finalement, ce Mondial n'aura pas été un échec total pour la France. Limités face à l'Angleterre, brouillons face aux États-Unis, les Bleuets ont ensuite élevé leur niveau de jeu pour finir en beauté. Quelques joueurs en ont profité pour se mettre en évidence comme le pilier gauche Cyril Baille, déjà entraperçu cette saison avec le Stade Toulousain. Très mobile, son potentiel est à suivre. Nul doute que William Servat saura le façonner pour le plus haut niveau.
Revivez en vidéo les meilleurs moments de cette fin de match palpitante.
Oui mais. Un match de rugby se joue sur des détails et il suffit d'un rien pour en faire basculer. En début de seconde période, le trio Pelous-Bastide-Retière décide de changer d'ouvreur, Vincent Mallet prenant la place d'Enzo Selponi. Par sa réussite au pied, le jeune ouvreur du Stade Français permet aux Bleuets de reprendre espoir et de grignoter leur retard, malgré un nouvel essai encaissé. A douze minutes de la fin, Mallet claque son deuxième drop de la soirée et la France revient (23-34) dans les clous. Il faut pourtant attendre la 76e pour voir les Tricolores retourner dans l'en-but. Les Argentins cafouillent en touche et la France hérite d'une pénalité, vite jouée par Baptiste Serin. Le demi de mêlée bordelais, d'une subtile chistera, envoie Jedrasiak à l'essai. Mallet transforme. La France n'est menée que de quatre points...
De nouveau à l'attaque, les Bleuets tentent le tout pour le tout. Serin se fait la malle et passe tant bien que mal le cuir à Mallet, encore lui, qui réussit à transmettre acrobatiquement à François Bouvier. Le Toulousain accélère, cherche du soutien et voit Teddy Thomas à son intérieur. Sa passe est contrée mais le rebond est favorable à Thomas qui s'offre un doublé après sa réalisation en 1ère période. C'est au tour des Pumitas de baisser la tête... Finalement, ce Mondial n'aura pas été un échec total pour la France. Limités face à l'Angleterre, brouillons face aux États-Unis, les Bleuets ont ensuite élevé leur niveau de jeu pour finir en beauté. Quelques joueurs en ont profité pour se mettre en évidence comme le pilier gauche Cyril Baille, déjà entraperçu cette saison avec le Stade Toulousain. Très mobile, son potentiel est à suivre. Nul doute que William Servat saura le façonner pour le plus haut niveau.
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Boon
Il y a longtemps que je n'avais pas vu un faute aussi idiote que celle de l'argentin sur la touche. Ses coéquipiers ont du le pourrir !
Rémi
Serin, joueur très prometteur !
Tototerto
C'est la magie @Pepou ! Il faut essayer des trucs en match ! Magnifique fin de rencontre !
pepou
ce que fait Serin sur les 2 essais est vraiment brillant !!! par contre si la chistera n'était pas capté, il se serait fait grondé ...
Kadova
Bravo aux bebes bleus !