Cette année, seuls les Saints de Northampton sont parvenus à mettre en déroute les Saracens (41-20). Un sérieux revers qui cependant n’enlève rien à la formidable saison des Sarries. Avec 11 victoires au compteur après 12 journées, ces derniers sont logiquement leaders de la Premiership anglaise, devant ces mêmes Saints. Samedi, les Saracens se déplaçaient à Gloucester. Une formation séduisante mais qui a du mal à s’imposer dans ce championnat relevé avec seulement quatre succès. En septembre dernier, les Sarries n’avaient eu aucun mal à se faire respecter sur leur pelouse de l’Allianz Park (44-12). Après quelques mois de compétition, on se disait cependant que ce nouvel affrontement laisserait plus de place au suspense. Mais une fois encore, les Saracens n’ont laissé aucune chance à leurs adversaires à la faveur d’un premier acte maîtrisé qui a les vu marquer par deux fois grâce au demi de mêlée de Kock (8e) et à l’ailier international Strettle (21e). Trois pénalités de Farrel ont finalement porté le score à 19 à 3 en faveur des visiteurs à la pause.
La deuxième mi-temps a ensuite été beaucoup plus calme sur un plan comptable avec une seule réalisation pour les Saracens par l’intermédiaire d’Alex Goode (47e). Sans doute brassés dans le vestiaire, les joueurs de Gloucester ont, eux, tenté de réagir avant l’heure de jeu. Sous pression près de leur ligne d’en-but, les Saracens ont alors vu Billy Vunipola (54e) puis le capitaine Steve Borthwick (56e) rejoindrent le banc pour dix minutes. A 13 contre 15, les Sarries ont montré une fois de plus qu’ils n'étaient pas en tête du championnat pour rien. Sur la mêlée qui a suivi cette double expulsion, et malgré deux avants en moins dans le pack, les six restants (Mako Vunipola, Schalk Brits, Matt Stevens, Alistair Hargreaves, Jackson Wray, Kelly Brown) ont littéralement ridiculisé le huit adverse à la faveur d’une énorme poussée. Une attitude qui devrait ravir les amateurs. Pour être tout à fait honnête, il faut préciser que le centre Barrit était venu prêter main-forte à ses gros. C’était donc du 6,5 contre 8.
La deuxième mi-temps a ensuite été beaucoup plus calme sur un plan comptable avec une seule réalisation pour les Saracens par l’intermédiaire d’Alex Goode (47e). Sans doute brassés dans le vestiaire, les joueurs de Gloucester ont, eux, tenté de réagir avant l’heure de jeu. Sous pression près de leur ligne d’en-but, les Saracens ont alors vu Billy Vunipola (54e) puis le capitaine Steve Borthwick (56e) rejoindrent le banc pour dix minutes. A 13 contre 15, les Sarries ont montré une fois de plus qu’ils n'étaient pas en tête du championnat pour rien. Sur la mêlée qui a suivi cette double expulsion, et malgré deux avants en moins dans le pack, les six restants (Mako Vunipola, Schalk Brits, Matt Stevens, Alistair Hargreaves, Jackson Wray, Kelly Brown) ont littéralement ridiculisé le huit adverse à la faveur d’une énorme poussée. Une attitude qui devrait ravir les amateurs. Pour être tout à fait honnête, il faut préciser que le centre Barrit était venu prêter main-forte à ses gros. C’était donc du 6,5 contre 8.
lucas71960
Impressionnente mêlé
Sanchouze
Comme quoi l'envie peut faire déplacer des montagnes! Chapeau
Arountazief
Dommage qu'il n'y ait pas une vue du dessus...
Selon moi, le moment où il y a vraiment avancée, c'est quand le pilier gauche des Sarries commence à pousser de travers. Le fait que le talonneur Sarrie soit le premier à popper est caractéristique. C'est justement parce que son pilier gauche fait rentrer le pilier droit adverse.
Poussée légèrement vers le haut et pilier de travers. Je pense que cette mêlée était très largement pénalisable...
Jean-Claudas
Aie aie aie.. Je le sens pas vraiment ce match à Ernest !
Jo Sado
Toulouse est prévenu, eux qui ne sont pas forcément au mieux en mêlée en ce moment.
maitrederf
Même à 8 contre 6.5, on dirait que l'équipe de Gloucester avait des crampons en mousse, tellement l'autre mêlé leur marche dessus... Ca doit piquer dans les cervicales
derry69
les ego des avants de gloucester ont du en prendre un coup !